La DATA, le nouvel or noir, comme beaucoup se targue de l’appeler.
Son ère vient probablement juste de commencer. Toutes les entreprises en quête de croissance et d’amélioration devraient, d’ici peu, y avoir accès.
Améliorer ses process, maximiser ses ventes, anticiper les fluctuations, offrir un produit et des services toujours plus performants. Mais même si toutes ces vérités sont évidentes, elles n’en restent pas moins aujourd’hui difficilement implémentables pour la plupart des sociétés françaises.
Déployer des logiciels de suivi client, des trackers et autres outils d’analyse furent la première étape. Ils permettent de mieux comprendre les besoins auxquels nous tendons à répondre et de nous adapter aux évolutions du marché.
Les sociétés, les nouveaux acteurs de la DATA.
Cependant, une partie de la population jusqu’à peu était oubliée. Une partie qui est probablement la valeur la plus importante de nos entreprises françaises : nos collaborateurs. Il y a dix ans, la mention d’une source de DATA en temps réel sur le comportement et l’activité de vos équipes auraient fait ricaner les plus conservateurs et frémir les plus visionnaires. Elles existent aujourd’hui.
Imaginez les possibilités d’une entreprise qui peut, via une plateforme internet, visualiser en temps réel les différents achats et investissements de ces équipes. Une entreprise qui peut analyser les retours sur investissement des moindres centimes dépensés et améliorer ses process de décisions en conséquence. Une entreprise qui n’attend pas de tomber pour se relever, mais qui utilise la DATA pour projeter ses perspectives économiques de demain.
Qu'en ferez-vous ?
Cette DATA est devenue accessible. Aujourd’hui, seuls peuvent se targuer, de ne pas avoir fait le pas, ceux qui ne souhaitent pas avancer. De l’avocat au restaurateur jusqu’à nos grands groupes du CAC40. Tous y ont a gagné.
Alors que la digitalisation progresse dans tous les secteurs, de la comptabilité à l’industrie lourde, la DATA intra entreprise permettra aux sociétés de conserver l’agilité et la résilience nécessaire pour rester compétitives.
Alexandre Smadja
